• Chapitre 6: Incompréhentsion

    -Hein ?
    Je me tournais vers la fille qui m’avait adressé la porale. J’étais tellement occupé à regarder Daniel et le cadavre que je n’avais pas tout saisi. La fille qui se tenait devant moi me rappelait quelque chose, mais je n’arrivais pas à savoir quoi. Je me sentais mal à l’aise sous le poids de son regard violet. Un regard violet ? Oui j’en avais vu un comme ça, un seul, un qu’on ne pouvait oublier…Ca y était ! Je me rappelais ! La fille de ce matin, celle qui a frappé Daniel… Mais dans un autre sens ce n’était pas elle, derrière son dos était déployé deux grandes ailes transparentes, sa robe était tel un bouton d’or renversé, la même teinte doré sur laquelle se reflète si bien le soleil, ses cheveux bruns rangés en une nattes garnie de fleurs. Elle était quelqu’un d’autre même si la lueur triste dans ses yeux était toujours là. Alors ici dans cet endroit étrange il y a de la magie ? Des gens à la même apparence que ce que je connaissais ? Daniel est-il quel qu’un de mauvais ou ce qu’il a fait était nécessaire ? Je ne savais pas, je ne savais rien… Je fus soudain prise d’une furieuse envie de me blottir dans les bras de Daniel et d’y pleurer ma solitude, ma peur, ma tristesse, ma haine, mon ignorance, mon égoïsmes… Je me retiens de justesse quand la fille parla à nouveau de sa voix cristalline :
    -Tu reste avec lui ou tu pars avec moi ? Elle semblait lasse mais honnête.
    -Écoute-je me souviens plus de rien, mentis-je. Vous pouvez m’expliquer ?
    Daniel se plantait devant moi ce qui me fit frémir. Toutes les molécules de mon me poussaient vers lui, lui et seulement lui, lui qui occupait mes pensées et mon cœur, lui pour qui j’aurais étais prête à faire n’importe quoi. Ses mains agrippèrent solidement mes épaules me brulant au passage malgré mes habits et mon regard se noya petit à petit dans le vert de ses yeux.
    -Tu as tout oublié ! Non c’est impossible tu n’as pas pu NOUS oublier ! Et comment tu te souviens de mon nom ?!
    Il était furieux, non enragé. Il a dit nous ? Dans ce monde il y a un nous ? Mais pour faire nous, il faut qu’il y ait lui et moi, et si j’étais dans l’autre monde il ne pouvait pas y avoir de nous alors il y a une autre moi ? Qui est-elle ? Est-elle encore ici ? 
    -Un nous ?
    -Oui un nous !
    -Raconte-moi…murmurais-je implorante.
    Ce fut le moment que la fille choisit pour intervenir coupant le lien qui me liait à mon beau, mon parfait, mon magnifique Daniel.
    -Ne l’écoutes pas il ment ! Tous ce qu’il te dit est mensonge ! Il se sert de toi ! Il n’a pas de cœur, pas de morale !
    -Je ne suis pas le monstre qu’elle te décrit, sa vois était redevenu posée, elle le croit surement mais non. Je t’aime ! Et si tu es avec moi c’est pour que SON roi ne te prenne pas la vie pour gagner la bataille. J’ai trahi le royaume, c’est vrai mais ce n’est pas le nôtre. Nous somme originaire du pays rivale toutes nos anciennes connaissances et notre famille seraient tuées ! Et toi aussi ! Ta petite sœur qui t’attend chez toi ! Qui espère te revoir après que tu te sois rendu à sa place pour qu’elle  ne devienne pas esclave !
    Tous ces mots étaient pour moi du chinois, je n’arrivais pas à assimiler la folle vérité. La seule et unique chose que j’avais compris c’était le je t’aime. Il me remplissait de joie jusqu’à me faire oublier le meurtre et tout le reste, ça semblait si loin… Avec un grand sourire je déclarais :
    -J’ai rien compris !
    Puis j’explosais de rire sous le regard hébété de Daniel et celui perdu de la fille. Ses yeux étaient perdus dans les vapes et dit avec une voix sans âme :
    - Tu n’es pas l’Elena de ce monde.
    Ce fut comme si je venais de me prendre un claque retentissante. Elle savait, elle avait compris…Comme Daniel réagirait ? J’étais mortifiée, je ne parvenais même plus à respirer.
    -Et ce Daniel n’est pas celui que tu connais. Je suis la sœur de Mia et par la même occasion celle du Daniel de l’autre monde.

    Non, ce n'était que des mensonges, un ramassit de mensonge, tout ça était faux! Seul Daniel et vrai pour moi!
    -…..Tais-toi je m’enfiche ! Je veux juste être avec Daniel je déjà fahi le perdre par manque de confiance alors plus jamais ! Je le suivrais partout à condition qu’il ne fasse plus de mal !
                                                                               ***
    Je recardais autour de moi il y avait un paysage étranger, complétement  différant de la prairie bleu… Soudain je vis Daniel à terre, blessé. Une panique soudaine m’envahie. Je me précipitais près de lui.
    -Daniel ! Qui vous a fait ça ! Oh mon dieu vous allez bien!


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  • Ca recommence, ce monde ou j'ai rencontrée Kamilou. C'est un renard noir son pelage aux couleurs de la nuit et des étoiles. En fait c'est une femelle quand ce monde ouvre ses portes je vais toujours la voir, je sais ou la trouvée, dans le pré bleu ou la rivière du temps filtre la pureté de l'âme. Je m'y dirige quand je vois Geoffrey. Le gardien des sentiments gisant par terre un flèche plantée dans sa poitrine. Les larmes me montent aux yeux. Je regarde au tour de moi criant à l'aide. Soudain  j’aperçois Daniel et j’entends la voie de la fille de tout à l'heure:

    -Qu'es ce que tu entends par là Daniel ? Rien ne vaut un meurtre!

    Daniel comment avait il put devenir un être pareille. Ce n'était pas juste, surtout qu'il souriait et se tenait à côté de cette fille qui n'avait rien demandé. Je me tourne vers lui et lui demande:

    - C'est toi qui à fait ça?

    -Oui, ça pause un problème?

    Je ne pouvais pas y croire, pas lui, pas mon grand frère. Mes larmes se transforment en sanglot.

    -Daniel, tu avais promis, tu ne peux pas me faire ça. Non tu ne peux pas nous faire ça.

    Il me regarde l'air désolé. Soudain mon comportement m'échappe et je lui saute dans les bras en criant:

    -Grand frère tu n'as pas put changeait comme ça!

    Il ne réagit pas, mais sanglot deviennent de plus en plus fort et c'est à ce moment la que l'on remonte dix ans en arrière. Parce qu'a ce moment la il m'a sourit et m'a caressé les cheveux comme il le faisait quand j'avais cinq ans et lui six.

    -Tu dois arrêter de m'appeler grand frère, je ne suis plus le même.

    Je prends ma voix de gamine de 5 ans et lui dit:

    -Tu es devenu comme quand les m'embêtait "Dark-Daniel"?

    La remarque à l'effet escompté il sourit, mais se n'est pas le bon c'est un souri triste. Je sais déjà ce qu'il va me dire il est au courant me le dit quand, il entame ça phrase mais je réagis comme avant je me bouche les oreilles, mais il s'approche est dit les finiront par détruire nos liens je le sais. C’est la que je me rappelle que de nous deux j’ai toujours étais la plus froide et distante. Je m'éloigne et le regarde froidement.Il est tellement different de moi, je n'arrive pas à y croire.

    -Très bien Dan, tu pars ou tu veux mais tu ne detruiras pas cette fille car elle est la pretresse de la vie.

    Daniel est pale, il ne s'attendait pas à se que je sois au courrant. Lui ce qu'il ne sait pas  c'est que la personne qu'il vient de tuer est notre père et que je ne lui pardonnerer pas. Je regarde la fille, je sais que c'est ca décision. Je la regarde, un larme roule silencieusement et j lui tend la main en lui disant:

    - Je ne peut pas te forcer mais je suis fatigué et j'ai besoin de ton aide  de ta force mais quoi que tu fasse je te protegerai  toujours je te le jurre ma soeur et bonne anniversaire.

    Je lui sourrit je sais que c'est son choix alors c'est à elle de choisir son destin.

     

     


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  • Chapitre 4: Derrière la glace

     

    Tous c’était passé si vite sous mes yeux que  et je peinais à y croire, Daniel était devant moi à terre, Marie l’avait abandonné à son sort,  lui crachant que c’était de sa faute si cette folle l’avait attaquée, celle-là d’ailleurs avait disparue et moi je me posais de plus en plus de questions, Daniel était t’il au courant de mes sentiments et si cette étreinte n’était qu’un simple signe d’amitié ? Alors il devait me haïr pour rien et je l’aurais perdue, mon Daniel… Et cette fille pour quoi a-t-elle dit que Daniel humilié des gens, il prenait pourtant souvent la défense des insultés… Ma propre douleur n’a-t-elle rendue paranoïaque ? Le beau visage de celui que j’aime et boursoufflé et rouge à quel que endroit… Je ne pus supporter cette vision une minute de plus, et dire que tout était de ma faute, même si il connaissait mes sentiments et qu’il s’est moqué de moi est-ce que ça vaut ces coups ? Non, bien sûr que non, la violence ne sert à rien… Je tendis la main vers Daniel sans le regarder et peinai à murmurer ces mots :
    -Je suis désolé d’avoir réagie comme ça, c’est juste que je…enfin j’ai…. Je t’aime ! Et te voir avec Marie… ça m’a rendue… Disais-je d’une voix décomposée.
    Mon cœur battait si vite et mon estomac était noué, je ne me serais crus capable de lui dire…Ne sentant rien me serrer la main je risquais un regard inquiet sur mon ami à terre. Il semblait ne rien comprendre, énervé et dégouté… Dégouté ? Je dégoutais Daniel ?! Non, non ! Ça ne devait pas se passer comme ça ! Je me sentis comme déchirée, brisée. J’avais envies de pleurer, de hurler. De tous oublier, jusqu’à qui j’étais. D’un coup je me mis à crier, comme une folle enragée. Je criais à m’en arracher les poumons, à en rendre sourd tous ceux qui se trouvaient autour de moi. Puis d’un coup un  gros craquement survit de plus d’autre se firent entendre. Pourtant je n’arrêter pas de hurler. Ne comprenant pas vraiment ce qui se passé j’avais décidais de ne pas y prêter attention et que c’était surement du à mon état émotionnel. Je vis ahuris la cour, les personnes et tout le reste se fissurer comme si ce n’était qu’un immense miroir. Soudain « ça » se brisa, les éclats volèrent, tourbillonnèrent un moment dans les aires puis disparurent laissant place à tous autre chose. Comme si mon univers n’était qu’un leurre, une simple illusion. Puis la surprise et l’incompréanssion laissèrent place à la peur, une peur qui me rongeait de l’intérieure alors que je contemplais l’étrange endroit dans lequel je me trouvais. Autour de moi, des immenses arbres au feuillage rose et au parfum mielleux. Je baissais craintivement les yeux sur une haute herbe bleue, elle s’étendait à perte de vue de temps en temps des fleurs aux pétales verts et à la tige mauve en dépassées. Un gargouillement familier attira mon attention, je me retournais et découvrais une petite cascade à l’eau dorée, le soleil chaud miroitant à sa surface. Finalement ce nouveau monde était très beau, je mis plairais, je pourrais recommencer ma vie, personne ne m’attendais là où j’étais avant… Sûrement pas mes parents, et la seule personne à qui je tenais ne me déteste. Une larme silencieuse coula sur ma joue alors que je pensais à Daniel. Ma douleur était immense, je l’aimais tellement, je vivais pour lui, je me levais chaque jour en me disant que je verrais son visage, que j’entendrais sa voix… Mon cœur était comme transpercé de toute part. Oui, il était tout pour moi, il était mon dernier espoir… J’allais m’abandonner à la peine et aux larmes quand j’entendis la voix d’une personne que je ne connaissais que trop bien :
    -Attention !
     Je sursautais surprise, puis automatiquement je tournais la tête vers la provenance du son.Tout mon corps frémit alors que je le vis foncer sur moi. Je voulais bouger, mais en vain j’étais comme paralysé. En un rien de temps il me percuta et nous tombions tous deux dans l’herbe tendre. Mon cœur me faisait si mal tellement il battait fort. Je me sentais énormément  gênée de le sentir sur moi, ma tête écrasée par son imposant torse. Mon nez fut bientôt remplit de son odeur. D’un coup toute la pression disparue et lui au passage. Je me redressais maladroitement  malgré la douleur qui me vrillait le cran. Une flèche fusa devant mon nez et alla se planter dans la poitrine  d’un nouveau venu. Un homme trapu dont la barbe noire lui mangeait la moitié du visage. Il tomba raid mort. Je poussais un cri horrifié. Il me secoua et me força à le regarder :
    -Non mais qu’es qui te prends tu vas nous faire repérer !
    -Tu l’as tué ! Criais-je en essayant de me soustraire à son emprise qui me dégoutée.
    -Tu sais bien que on n’a pas le choix c’est eux ou nous, dit-il d’une voit plus douce et compréancive.
    Ce fut seulement maintenant que je remarquais ces vêtements, un pull en fourrure brune et un pantalon en toile. J’étais de plus en plus perdue, était-ce vraiment lui ? Et j’étais aussi meurtrie par son indifférence face au meurtre qu’il avait commis, c’est comme si cette vie n’avait pas d’importance. Etait-il devenu un monstre ? Je ne comprenais et je ne pouvais pas réfléchir, devant mes yeux ce répétait la scène, la flèche s’enfonçant dans le corps de cet homme et lui ôtant la vie, son cœur transperçait, le sang pourpre giclant de la plait. Et dans mes oreilles le sifflement de la flèche, rapide et mortel, le bruit effroyable de la chaire se déchirant. Je sentais des larmes inonder mes joues. A moitié en transe je réussis pourtant à murmurer : 
    -Qu’es ce que tu entends par là Daniel ? Rien ne vaut un meurtre !


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  • Mia:

    Cette fille était vraiment forte. Mon tibia me faisait super mal. Malheuresement pour elle à la course je suis imbattable. Elle est dans la petite fôret. Je m'avance dans la fôret, une fois à coter je remarque qu'elle ne m'as pas vue. Quelle idiote je fait que vais-je lui dire? Pas le temps de reflechir, je lui tapote la tête gentillement et elle se jettent dans mes bras. sous le choc je ne réagis pas puis la surprise passé je noue mes bras autours de sa taille tentant de la consoler. Elle ressemble à une fontaine. Quand c'est pleure ce calme je lui demande:

    - C'est à cause de Marie  et Daniel que tu pleure?            

    Pas de réponse. Je ne supporte pas ce Daniel et encore moins cette Marie, je vais les démonter. Je reprend donc la parole:

    - Je vais les démonter ces deux crétins.

    Folle de rage je la prend par la main sans lui laisser le temps de réagir. Je l'entraine à travers tous le hall et je pousse la grande porte, pour la plus part des personnes ca demanderais un effort. Pas pour moi. Je vois Daniel et Marie sur le point de s'embrasse, c'est limite si la fumée ne me sort pas par le nez. Je ne peus plus me métriser je donne un grand coup de point dans la machoir de cet abrutit de Daniel qui croit faire fondre toutes les filles avec son regard de crétin fini. Marie regarde l'air d'une vache pommé dans un océan. Je propulse mon pied en l'air vers le ventre de Marie. Cette dernière recrache tous l'air quelle avait dans les poumons et tombe. Derriere moi Daniel me donne un coup de pied dans le tibia. Je me returne vers lui et lui balan un coup de point dans le nez, on se bat devant le regard des passants et des écoliers. Pour tous dire c'est la premiere fois que je me bats et il a fallu que ca tombe sur les personnes les plus populaires du lycée. Soudain je me souvient de ma vie, je sais qu'en rentrant je vais me fair frappait je sais aussi que ce soir je ne rentrerait pas d'ailleur je ne rentrerait plus jamais. Daniel tombe il est à terre mais je continue de frapper en hurlant:

    -Ca ses pourtous les gens que tu as fait pleurer, ça c'est pour toutes ces années ou tu m'en à fait baver ça c'est pour tous les gens à qui tu as mentis, ça c'est pour la fille qui pleure, ca c'est pour toute les fois ou tu ma rabaisser, ca...

    Une main forte m'éloigne de lui, je me met à pleurer, mes habits son déchiré boueux mn coude me fait mal et je croit que mes talons sont cassé. J'ai vraiment pas de chance aujourd'hui. Mais si je pleure c'es pas pour ca. Si je pleur c'est de rage de ne pas àvoir peut le demonter. Je regarde la  fille qui pleurait elle semble étonné mais pas dégouter bisar. La personne qui me tenait me pose, c'est la que je craque et part en courran sans  savoir ou je vais. je m'arrete sous un arbre ferme les yeux et pleure en silence. Je suis nul, je ne suyis pas assez endurci, pas assez froide. Je ne suis qu'une pauvre fille, qu'es que je fait la à pleurer, je ne veux pas de cette faiblaisse. J'essuie mes larmes et me leve, mes c'est une foiss de bout que je prend compte que mes talons sont cassé et que je m'effondre sous mon poids.

     


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  • Chapitre 2: un passé lourd...

    Point de vue de la fille qui a aidé Mia:

    Le temps est comme arrêté, je vois ses longs cheveux bruns se déployés autour d’elle, ses mains pâles se tendre vers le ciel. J’entends chaque battement de mon cœur, dominant tous les autres bruis. Sans même réfléchir, je plonge sous elle à fin d’amortir sa chute. Et au moment où je touche le sol le court du temps se reprit. J’ai un peu mal ici et là, mais bon rien de bien grave. Je la sens se redresser, mes yeux glissent vers elle, et je la vois, assise par terre complétement hébétée. Je pousse très fortement sur mes jambes et mes bras pour réussir à me relever. Alors que je suis encore en plein effort j’entends sa voix tremblante me demander :
    -Pour quoi m’as-tu aidé ?
    J’aurais voulus lui répondre, mais pour une raison que j’ignore je n’y parvins pas. J’essaye de cacher ma gêne derrière un sourire et une main tendue. Elle s’en empare et encore une fois mes muscles sont mis à rude épreuve. Accidentellement mon regard croise le sien. Aussitôt je regarde ailleurs. Pas parce que j’ai un problème avec elle, non pas spécifiquement. Mais par contre avec les gens en général, depuis…Je baisse la tête et me force à penser à autre chose. Je sens une main saisir mon bras et me retournée. En un rien de temps je me retrouve contre un puissant torse la tête dans le cru d’un coup, le nez dans des cheveux blonds délavés. Une odeur de clore et  de chips me chatouille les narines. Et aussi tôt mon cœur fait un bon dans ma poitrine. Ses parfum je ne sais que trop bien à qui ils appartiennent… De douces vagues de chaleur me submergent. Une main, sa main se referme sur mes cheveux. Jamais je ne me suis senti si bien, je pourrais passer l’éternité comme ça, jamais je pourrais m’en lasser… Tous ce qui se trouvait autour de moi semble avoir disparu, lui seul était là et c'est très bien ainsi. D’un coup l’enchantement se brise et la mémoire me revint. Mes mains au pare avant repliées contre son corps me permettent de me reculer brusquement. Le beau visage de Daniel apparait. Et je lui crache dessus, je n’attends pas sa réaction pour décamper, le cœur en miette. J’entends les rires de Marie, ma soit disant meilleure amie qui ne s’était pas gênée pour me trahir. Je suis fatigué d’être Elena Wolker, oui bien trop lasse. Le hall défile devant moi, brouillé par mes larmes. Je sens quel qu’un m’agripper à la manche, sûrement une surveillante. Qui que ce soit je lui balance un coup de pied. La personne geint puis me libère. Je fonce jusqu’à la porte principale. Mes poumons me brûlent, mais je n’y prête pas la moindre attention. Je tends mes doigts vers la grosse poignée et l’enclenche violement. Je pousse la lourde porte avec le peu d’énergie qu’il me reste et je sens l’air s’engouffrer dans le grand bâtiment qui m’est si familier. Le vent frai de l’automne me booste. A chaque nouvelle inspiration je suis un peu mieux. Mes cheveux emportés bar la brise me bar légèrement la vue. Je replace un tire-bouchon noir derrière mon oreille. Je tourne la tête et oblique vers la forêt. Chaque un de mes pas m’arrache une grimace. Je n’ai pas l’habitude de courir aussi vite. J’entends des gens se rapprocher, j’ai peur de ce qui pourrait arriver à cause de mon pétage de plonc, je sais bien qu’ils me rattraperont et qu’ils en parleront à mes parents et là je serais bonne pour la dasse. Je frémis. J’aperçois à un tournant un épais buisson qui me tend les bras. Sans réfléchir plus longtemps je mis jette et me fait la petite possible. J’esquisse une grimace de dégoût en sentant ma tête se poser sur le sol humide constitué de quel brins d’herbe hauts et gras ainsi que de feuilles de teintes orangés en décomposition. Puis je me rappelle que j’ai avec moi un sac noir, je tends la main pour l’attraper mais j’entends des craquements, je ne dois prendre aucun risque. Je pleure toujours mais cette fois si c’est à cause de moi. Je ne sais pas comment j’ai peux faire une chose aussi débile pour quoi a t’il fallut que je craque ! Je ne suis qu’une imbécile ! Mon cœur bat si fort et tout mon corps tremble faisant claquer mes dents. Je ne sais même pas pour qu’elle raison je me cache, qu’es ce que je compte faire ? Passer ma vie dans une petite forêt à côté de mon collège ? Idiote !

    Désolé, je trouve ce chapitre un peu court et j'ai mis beaucoup de temps à écrire alors voilà.

     

     


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